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Les dépendances

Un domaine endommagé

Lorsque Louis-Philippe hérite du château d’Eu en 1821, le domaine a subi de nombreux dommages. Les écuries du parc, les remises, les communs soit n’existaient plus, soit se révélèrent insuffisants.

Il fallut très rapidement penser à de nouvelles dépendances. Elles furent commencées avant même les travaux de restauration du château.

1827 : un nouvel ensemble

Avant de construire les bâtiments, plusieurs maisons entre la collégiale et le château furent achetées, puis démontées. La démolition de l’abbaye, pendant la Révolution, laissa également suffisamment de surface à l’architecte Pierre-Léonard Fontaine pour l’établissement du nouvel ensemble. Les travaux commencèrent en 1827 pour s’achever deux ans plus tard pour le gros œuvre.

1844 : Les dépendances agrandies

Le roi Louis-Philippe complète, en 1844, les dépendances du château par l’adjonction d'un nouveau groupe de bâtiments, de l’autre côté de la place Isabelle d’Orléans-Bragance.

Longeant l’actuelle rue Jean Duhornay, cet ensemble de constructions est vendu en 1848, suite à la chute de la monarchie de Juillet, une première fois en 1852 puis en 1855 à la ville d’Eu. La municipalité y établit son nouvel hôtel de ville. Outre la mairie, la justice de paix, le tribunal de commerce et l'école, le programme prévoyait l’installation d’un théâtre qui existe encore aujourd’hui.